L'emprunt intégral à l'anglais rider de même que ses variantes rideur et rideuse, davantage répandues en Europe francophone, ne sont pas acceptables parce qu'ils ne sont pas légitimés dans l'usage au Québec. En effet, on constate une certaine réticence dans les médias écrits, notamment, où ils sont régulièrement placés entre guillemets ou écrits en italique. En outre, les termes rideur et rideuse ne sont pas adaptés sur le plan morphologique, puisqu'ils sont formés d'un mot anglais (ride) auquel on a ajouté une finale francisée.