Bien que la forme féminine variante soit parfois employée dans l'usage pour désigner le présent concept, on constate que la documentation spécialisée atteste principalement le masculin variant. L'emploi du féminin variante pourrait s'expliquer par le fait que ce terme est répandu dans la langue courante et dans d'autres domaines de spécialité pour désigner, de manière générale, une chose qui est légèrement différente d'une autre. En virologie, cependant, c'est le masculin variant qui est privilégié pour désigner un organisme ayant subi une mutation. Ainsi, on parlera, par exemple, d'un variant du SRAS-CoV-2.