L'emprunt réno-éviction, bien qu'il soit employé en français depuis peu, est acceptable parce qu'il est intégrable au système linguistique de cette langue. Adapté de l'anglais renoviction ou reno-eviction, il est composé de réno (forme tronquée de rénovation, déjà couramment employée au Québec) et du mot éviction.
Au pluriel, on écrira : des réno-évictions.