Le mot brûlé peut aussi s'écrire brulé en vertu des rectifications de l'orthographe (bois brulé).
L'emprunt yakisugi, translittération du japonais, est acceptable, car il désigne une réalité propre à la culture japonaise. Il est formé des éléments yaki, « brûlé » et sugi, « cèdre » puisque traditionnellement, au Japon, on utilisait du cèdre pour produire du bois brûlé. Toutefois, en français, on utilise ce terme indistinctement de l'essence utilisée.